Petite journée en perspective : transfert vers le port à 10h30, embarquement sur le ferry à 11h45 pour 3 heures de traversée jusqu’à Santorin, avec une escale à Naxos.
Dans les guides, on nous avait prévenus que l’entrée dans la caldera était impressionnante, mais rien ne nous avait préparés au spectacle qui s’offrait à nous… une merveille, nous étions scotchés !
Je n’ai jamais rien vu d’aussi beau !
Pascal et moi avons eu une longue discussion quant à savoir ce qui nous avait le plus marqués : l’île de Santorin ou le Grand Canyon. Peut-être que si nous avions survolé le Grand Canyon en hélicoptère, il serait sorti vainqueur de la comparaison, mais là, il vient d’être battu à plate couture par Santorin.
Notre chambre à Imerovigli, près de Fira,
est super spacieuse avec un coin salon et un coin couchage.
Bien sûr notre balcon offre une vue sur la mer,
mais en plus, le petit déjeuner est amené dans la chambre. Il suffit d’indiquer nos choix et l’heure à laquelle nous souhaitons être servis. Nous sommes de vrais pachas…
Après nous être installés et avoir réservé une table au restaurant de l’hôtel, nous partons nous promener à Fira. Le chemin pour y aller longe la caldera.
La vue est superbe.
Mais Fira n’est pas aussi jolie que Mykonos et les petits villages de Paros. En fait, ici les chemins piétons sont en pierres de lave, c’est donc des petits pavés et plus les grandes dalles bordées de peinture blanche.
On a aussi l’impression que bénéficiant d’un site unique, il n’y a pas besoin de faire d’efforts supplémentaires pour l’aménagement des ruelles et la peinture des façades, car par endroits le pavage est remplacé par des rustines en béton et le blanc des maisons est moins éclatant.
Dans la ville, les ruelles sont envahies par les échoppes.
Notre dîner sera parfait, nous profitons de la vue sur le coucher de soleil. Il parait que celui d’Oia est le plus beau du monde, ici, nous l’avons admiré, à l’abri de la foule depuis Imerovigli …
En regagnant notre chambre, nous nous rendons compte que nous avions oublié d’éteindre les lumières. C’est ennuyeux, mais super pratique. Ce n’est qu’en voyant que les serviettes avaient été changées, que le drap du lit avait été tiré et qu’il y avait des chocolats sur nos oreillers que nous comprendrons qu’une petite fée du logis était passée par là… De pachas, nous sommes passés au statut d’émirs du pétrole !